Salle assez exigüe au sommet du phare elle se présente sous forme circulaire. Elle est est également faite du même bois que le reste de la construction, moisi et humide. En son centre se trouve une énorme ampoule cassée qui n'éclaire plus rien, elle est entourée de barrières de fer qui empêchent les gens de tomber dans le vide qui entoure l'ancienne source de lumière. Les mêmes algues étrangement phosphorescentes sont accrochées sur le bois et un étrange cadavre d'homme poisson gît sur le sol.

Un peu plus haut dans le phare, une seconde pièce vous tend les bras. Elle est fermée à clef. Pour découvrir ce qu'elle recèle, il faudra réussir à l'ouvrir...

Lorsque vous atteignez le milieu de la tour, une porte s'offre à vous. Derrière elle se cache une chambre meublée sommairement : un hamac, une table, une chaise, une armoire... Rien de bien extraordinaire en somme. Le silence règne dans ce lieu paisible

Sous le phare se trouvent de vieux cachots en pierre luisante d'humidité, rongés et gravés par le sel et les anciens prisonniers. À vue d’œil ils semblent impossibles à atteindre, la trappe creusée dans le sol du phare ayant été murée. Plongés dans l'obscurité ils semblent dégager une ambiance lugubre et malsaine qui plongerait Indiana Jones lui même dans un état de malaise profond. L'air y est lourd et les dédales de couloirs s'allongent comme un jour sans pain. Les grilles de fer rouillé, constituant les portes des cellules, sont souvent ouvertes mais gare au tétanos si vite contracté en cas de coupure. D'anciennes torches accrochées aux murs se sont éteintes à cause de l'humidité en ce lieu quand d'autres semblent avoir brûlé jusqu'à la garde. On ne trouve nulle part dans ce sous sol les étranges algues de la partie supérieure du bâtiment.