Il aime la solitude.
Il est du genre "Besoin de personne et personne n'a besoin de moi." Apres tout, ce n'est pas une histoire dans lequel il serait un héros ou qui que ce soit, c'est la dure vie.
En réalité il souffre, sans vraiment savoir pourquoi, il reste troublé en permanence. Que ce soit dans son corps ou dans son esprit, il ne se sent pas à l'aise mais veut le paraître. Il se sait faible et est tout à fait incapable de l'avouer. La peur de s'écrouler devant quelqu'un sans en savoir la raison le terrifie.
L'idée d'avoir des amis aussi. Il appréhende et tente de comprendre toute relation qui l'implique. Il ne veut pas souffrir et s'il se rapproche trop de quelqu'un, il pourrait se confier. Ça serait un drame, des souffrances, des pleurs. En quoi ça le soulagerait ? Il à décidé de vivre seul, trop de gens souffrent, partout autour de lui.
On perd forcément quelqu'un dans sa vie et lui à décidé de ne plus jamais perdre qui que ce soit. De la pire des manières.

Des traits de caractères ? Il ne supporte pas de se faire marcher dessus, il le garde pour lui mais peut exploser à tout moment.
Compétences particulières ? C'est un peu un bon à rien. Il a de grandes ressources, mais ne les exploite que lorsqu’il est en danger ou que c'est un besoin vital.

Précisément 1m79 de chair et d'os, un regard sombre, vide d'émotion ; le genre de type frêle, froid et qui reste imperturbable.
Il ne décroche pas le moindre sourire. Ses yeux d'un noir profond passent tout leur temps à fixer le ciel, ses pieds ou bien sa copie qui reste en permanence blanche. La seule chose qui attire son attention c'est le ciel.
Il est du genre à n'avoir aucune réaction corporelle, que ce soit dans une situation qui se veut embarrassante ou lorsqu’il est en danger, il garde son sang-froid.
Seul ses habits peuvent le trahir, être triste, ça lui donne froid. Quand il se doit de renvoyer une image, il porte des tenues chics. Le reste du temps ? Il plane, se morfond.
De temps à autre, lorsqu'il voit des gens heureux, il semble attentionné et la vie lui arrache un sourire. Qu'elle lui reprend ensuite, comme si son corps lui refusé toute sensation agréable, il ne veut rien de ça. Pourtant il sent une chaleur s'installer dans ses moments ci.
Quand il est seul chez lui, il porte un sourire pourtant. Il y croise souvent le regard d'un oiseau lui permet de s'imaginer vivre dans son corps, il plane à sa place, se sent libre.
Il est heureux, il sourit. Et ça lui plait.

Dans ses poches : Twenty Dollars ♫, des écouteurs, des mouchoirs, une carte de bus et un couteau suisse.